Thème: drogues en général
Introduction
Une drogue est un composé chimique, biochimique ou naturel,
capable d'altérer une ou plusieurs activités neuronales et/ou de perturber les
communications neuronales. La consommation de drogues par l'homme afin de
modifier ses fonctions physiologiques ou psychiques, ses réactions
physiologiques et ses états de conscience n'est pas récente. Certaines drogues
peuvent engendrer une dépendance physique ou psychologique. L'usage de
celles-ci peut avoir pour conséquences des perturbations physiques ou mentales.
Pour désigner les substances ayant un effet sur le système
nerveux, il est plus généralement question de psychotrope.
Le terme « drogue » recouvre
essentiellement deux aspects : la nature des effets biologiques que la
drogue induit d'une part et, d'autre part, les rapports que celui qui la
consomme entretient avec elle. Il faut qu'un composant chimique donné soit
consommé pour qu'il puisse répondre à l'appellation de « drogue ». Le
mode et la fréquence de consommation influe directement sur l'accoutumance ou la dépendance au produit.
I.
Causes de médicaments
1)
La
curiosité
Quoi de plus naturel chez un enfant et surtout un
adolescent que de vouloir expérimenter un produit dont il a entendu parler, à
plus forte raison s’il est interdit. Ce serait même une absence de curiosité
qui pourrait être inquiétante. Un peu comme la première cigarette que nous
sommes nombreux à avoir fumée en cachette quand nous étions petits, il est fort
probable que nos enfants essaient un jour le cannabis, juste pour voir, pour
savoir. Si nous avons su créer les conditions d’une ambiance de confiance et de
dialogue dans la famille, ils oseront nous en parler et nous pourrons
facilement les mettre en garde contre les deux dangers essentiels du haschich :
diminution de la vigilance et des réflexes avec risque d’accident lors de la
conduite d’un véhicule, démotivation et diminution du désir d’apprendre, de
passer un examen ou d’exécuter un travail, ce qui a des conséquences fâcheuses
sur le plan scolaire ou professionnel. Une mise en garde sereine, sans
banalisation ni dramatisation, est souvent suffisante pour que l’expérience
soit sans lendemain.
2)
La
pression du groupe et de la mode
Il arrive un âge où, pour l’enfant, les copains et
la bande devient la priorité absolue. S’il se trouve que, dans ce groupe,
l’examen de passage consiste en la prise d’une drogue, il faut une sacrée force
de caractère pour y résister. L’éducation qu’a reçue l’enfant, et notamment
tout ce qui peut développer son sens critique et l’élaboration de choix
individuels, peut l’aider à tenir bon. Mais, dans la majorité des cas, il
risque de céder à la pression pour ne pas courir le danger de se faire exclure
de la bande. Cependant, si on l’a bien préparé à oser dire « non », il devrait
assez rapidement pouvoir cesser cette pratique avec un argument du style : «
Bon ! Ça va ! Je vous ai prouvé que j’étais capable de prendre le même truc que
vous, mais comme ça ne me plait pas particulièrement, je m’en passerai
désormais. »
3)
Le
plaisir
Il serait hypocrite de ne pas reconnaître que la
drogue peut procurer du plaisir. L’ennui est que ce plaisir est fugitif et
qu’il va s’estomper au fil des prises. C’est ce qu’on appelle le phénomène
d’accoutumance. Il faudra donc augmenter les doses pour espérer, souvent en
vain, obtenir le même effet. Et puis ce plaisir a son revers. La « descente »
de cocaïne n’a rien d’agréable. Et, de toute façon, aucune drogue n’est
anodine. Les dangers sont extrêmement différents d’un produit à l’autre mais il
est certain que le plaisir risque de se payer très cher, tant financièrement
que physiologiquement. Enfin, pour ceux qui recherchent une solution à leur mal
être (et dont nous parlerons plus loin), soulignons d’emblée que plaisir et
bonheur ne sont pas synonymes et que cette confusion peut avoir des
conséquences désastreuses.
4)
La
convivialité
Il n’existe quasiment pas de fêtes, de réunions
d’amis, sans qu’une drogue, légale en général, vienne souder la rencontre. En
France, il est cocasse de remarquer que presque tous les débats consacrés à la
prévention des toxicomanies se terminent par un vin d’honneur. Et, que cela
nous plaise ou non, force est de constater que, de plus en plus, les jeunes
utilisent le cannabis dans le même esprit de convivialité que leurs parents
lorsqu’ils prennent l’apéritif avec des amis. Et, le plus souvent, il y a
simple usage et non pas abus.
II.
Conséquences de la drogue
Les conséquences associées à la consommation de
drogues peuvent être de nature physique, mentale, sociale, affective ou légale.
Quand une personne fait continuellement usage d’une drogue malgré tous les
effets secondaires négatifs, c’est ce qu’on appelle l’abus de drogues ou
toxicomanie. La toxicomanie peut entraîner des troubles de santé comme des
maladies, des blessures et des dommages physiques à l’organisme. Elle peut même
causer la mort.
La consommation de drogues peut aussi occasionner
des problèmes personnels. Par exemple, des problèmes tels qu’une perte de
motivation ainsi que la dépendance physique ou psychologique peuvent entraîner
des difficultés au travail ou à l’école. La consommation de drogues peut aussi
créer des tensions dans les relations personnelles avec les membres de la
famille ou des amis, ce qui peut aboutir à la rupture de ces relations.
Les personnes sous l’effet de la drogue peuvent
commettre des crimes qu’elles ne commettraient pas autrement. Les personnes
dont les facultés sont affaiblies par la drogue qui conduisent des véhicules à
moteur, des VTT, des bateaux ou des motoneiges, entre autres, peuvent gravement
se blesser ou blesser d’autres personnes.
L’utilisation de médicaments d’ordonnance peut aussi
occasionner ce genre de problèmes. En effet, ceux-ci peuvent survenir si on
prend un médicament pendant trop longtemps, si on ne prend pas la bonne dose ou
si on ne suit pas les directives. Les problèmes peuvent même résulter de
certains des effets secondaires.
1)
La
surdose
La surdose de toute drogue peut causer des dommages
physiques et mentaux graves et soudains. Elle est plus susceptible de se
produire chez les personnes qui ont acquis une dépendance ou une tolérance à
l’égard d’une drogue, celles qui se tournent vers les drogues après ne pas en
avoir consommé pendant un certain temps ou celles qui consomment des drogues
illégales sans en connaître la puissance. Il s’agit de la conséquence la plus
grave. Dans certains cas, la conséquence immédiate de la consommation d’une
drogue est une surdose mortelle.
III.
Solutions de médicaments
1)
Désintoxication
La désintoxication
aux drogues et à l'alcool est l'action d'amener l'individu à travers la phase
des symptômes du sevrage des drogues ou de l'alcool dont il abuse. La
désintoxication peut différer selon la sorte de drogue, la durée de la
dépendance, les antécédents de sevrage antérieur de la personne, etc.
Une première option de désintoxique est la méthode simple quand la personne dépendante ne représente aucun risque de convulsion. Elle peut être faite lorsque la personne consomme une drogue légère et depuis une courte duré. La seconde option est une désintoxique médicale. Cette méthode est employée quand les personnes dépendantes sont un risque pour des convulsions ou quand la personne consomme de l'alcool sur une base journalière depuis des années, consomme des médications à base de psychotropes ou des drogues de la catégorie des opiacées.
Toujours vous référer à une personne compétente. Ne décidez pas par vous- même comment sevrer un individu. Les informations ci-haut ne remplacent pas un avis médical. Elles sont à titre d'informations seulement. Il y a plusieurs facteurs qui peuvent déterminer le type de sevrage qu'une personne a besoin. La désintoxique ne remplace pas la thérapie. Elle ne guérit pas la dépendance. Elle est seulement la première étape vers la guérison.
Une première option de désintoxique est la méthode simple quand la personne dépendante ne représente aucun risque de convulsion. Elle peut être faite lorsque la personne consomme une drogue légère et depuis une courte duré. La seconde option est une désintoxique médicale. Cette méthode est employée quand les personnes dépendantes sont un risque pour des convulsions ou quand la personne consomme de l'alcool sur une base journalière depuis des années, consomme des médications à base de psychotropes ou des drogues de la catégorie des opiacées.
Toujours vous référer à une personne compétente. Ne décidez pas par vous- même comment sevrer un individu. Les informations ci-haut ne remplacent pas un avis médical. Elles sont à titre d'informations seulement. Il y a plusieurs facteurs qui peuvent déterminer le type de sevrage qu'une personne a besoin. La désintoxique ne remplace pas la thérapie. Elle ne guérit pas la dépendance. Elle est seulement la première étape vers la guérison.
2) Traitement Biochimique
La
désintoxique ne doit pas être confondue avec le traitement biochimique. Le
traitement biochimique enlève les toxines emmagasinées dans les tissus
graisseux du corps. Ceci aide la personne à ne plus ressentir les fortes envies
de consommer. Cette étape est effectuée après le sevrage et ne le remplace pas.
Conclusion
Les effets des drogues sont qualifiés de psychotrope ;
ils peuvent modifier l'esprit,
la volonté, le jugement (philosophie), etc. En
effet, les drogues agissent généralement grâce à un ou plusieurs alcaloïdes et
modifient les transmissions synaptiques.
La consommation de drogues est associée à des problèmes sociaux et de santé qui
varient selon le type, la quantité et le mode d'absorption de la substance mise
en cause. La consommation répétée de drogue peut conduire à la toxicomanie
et avoir des conséquences sanitaires.
Il est cependant important de préciser que toutes
les drogues n'ont pas les mêmes effets. Ce qui remet d'ailleurs en cause la
classification drogues douces/dures. Ce classement a été établi en prenant
comme seul critère les effets négatifs que les drogues peuvent entraîner sur
l'organisme, or il y a d'autres critères à prendre en compte : Certaines
drogues comme le cannabis sont faciles à se procurer, et de plus elles ne
coutent pas cher, c'est un critère important car il est plus facile de s'en
procurer. Seulement, l'addiction physique est bien plus faible que pour la
cocaïne qui même si elle est prise ponctuellement fait facilement déraper vers
l'addiction totale.
Publié à Boussé le 09 Avril 2015
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